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Villes mortes

Théâtre – – jours de représentation: Dimanche, Lundi, Mardi

Du 29/05/2022 au 21/06/2022 à 19H15

Durée : 1h20

A travers quatre contes fantastiques, la pièce raconte quatre tentatives de faire face à la violence de la réalité. Le spectacle est programmé dans le cadre de notre événement "Focus Québec"

Les quatre comédiennes m’ont fortement impressionné. Je vous recommande vivement ce remarquable moment de théâtre. L’un de ceux dont on ne sort pas indemne. L’un de ceux dont on se souvient très longtemps après être sorti de la salle. DE LA COUR AU JARDIN

Une foultitude d’affects peuple ces Villes Mortes : angoisse, emprise, folie, oppression, libération, joie, espoir. CULTURE SNES

L’imaginaire et le réel se côtoient dans une poésie sublimée et charnelle. L’émotion est portée par un langage dense, libre, enjoué, drôle, métaphorique, une diction rapide, une sémantique quelquefois abstraite et outrancière. Chapeau bas aux quatre comédiennes qui se livrent corps et âme à cet exercice de style ! HOLY BUZZ

A la fois poétique et fantastique, avec un humour omniprésent, le texte de Sarah Berthiaume donne aux interprètes une belle matière à jeu que Noémie Richard utilise avec inventivité et pertinence. FROGGY’S DELIGHT

Quatre femmes cheminent dans un monde à la frange entre réalité et imaginaire. ARTS CHIPELS

SYNOPSIS

Quatre filles, quatre histoires, quatre villes.

A travers quatre contes fantastiques, Villes Mortes raconte comment la mort survient dans nos vies et nous bouleverse pour toujours. Pour survivre, les quatre filles-villes inventent des mondes : Pompéi fait l’amour aux volcans, Gagnonville donne vie aux personnages de série-télé, Dix30 abat le capitalisme d’une balle en pleine tête et Kandahar solutionne l’horreur de la guerre par un souhait magique. Tout en vivant des drames personnels, les quatre héroïnes évoluent dans une réalité alternative peuplée de fantômes, de princesses et de zombies. L’extraordinaire se mêle alors au quotidien et des mondes s’inventent.

À partir de 14 ans

À PROPOS DE VILLES MORTES
Sarah Berthiaume écrit Villes Mortes en 2010, alors qu’elle a 27 ans, mon âge lorsque je découvre son texte et celui de l’intégralité de ma distribution. Je vois dans ce demi-hasard une certitude : Villes Mortes est une pièce générationnelle. Elle évoque le passage à l’âge adulte et l’état d’entre-deux qui l’accompagne. Coincée entre la fille et la femme, faire des choix est angoissant car décisif, grisant car marqueur d’une nouvelle ère. Quels choix nous rendent femme ? Et dans cet âge bâtard, où on peine a utant à faire le bilan qu’à se projeter dans l’avenir, la frénésie de la vie ne finirait-elle pas par nous conduire à une individuelle inaction ? La prise de décision crée un sentiment paradoxal de puissante solitude et c’est aussi de cela dont nous parle Villes Mortes : La solitude d’une génération.
Noémie Richard

Distribution

Texte Sarah Berthiaume, édité aux Editions de ta mère
Mise en scène Noémie Richard, assistée de Louise Robert
Lumières Sarah Doukhan et Noémie Richard
Décors Milena Forest
Costumes Milena Forest
Son Agnès Lerdou

Jeu Anahid Gholami Saba, Héloïse Logié, Ségolène Marc, Ruthy Scetbon

Crédit / photos du spectacle Héloïse Logié

 

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