spectacle déconseillé au moins de 15 ans
Aristide chante la femme et la putain.
Car pour lui, la putain est sa sexualité.
Aristide vient parler de la sexualité d’Aramis, mousquetaire du Roi… fait l’éloge de Priape, le grand masturbateur, ou de Guiliguilou totem zoomorphique qui pratique l’art de l’auto fellation.
De lupanars en tripots, de caves en voûtes malsaines, ce chanteur obsédé par les entrailles du monde, a fini par trouver sa voix… voix de l’obsession sexuelle.
Par bonheur, Aristide a trouvé 3 jolies putes, 3 musiciennes obscènes qui jouent les ingénues, mais qui (dans le fond) interprètent de belles petites mélopées qui accompagnent les tergiversations péniennes du chanteur jouisseur. Et ils l’affirment, haut et fort : On n’est pas là pour chanter des cantiques…