LES HISTOIRES PATHÉTIQUES DU GRAND BLOND
Ma vie est une éternité de dimanche !
SYNOPSIS
Entre poésie et humour, Louis, assis à la terrasse d’un café vous raconte sa jeunesse, sa vie amoureuse et ses aventures parisiennes.
Avec son journal intime il dépeint ses journées en passant de Houellebecq à Éluard ; il reprend ces grands auteurs qui sont passés, comme lui, au travers de ces sentiments.
À la question « êtes-vous déjà tombé amoureux ? » il vous répondra oui. À la question « avez-vous déjà été heureux en amour ? », il ne saura pas quoi vous répondre.
À partir de 15 ans
À PROPOS DU SPECTACLE
Le projet arrive sur une page pleine de gribouillis. Le résumé d’une journée. Et puis viens une deuxième journée, suivie d’une troisième et vient le jour où je décide de le lire devant le groupe de mon école. Ça a beaucoup fait rire et je ne comprends pas trop pourquoi. Je n’ai fait que raconter ma semaine. Je raconte tout et n’importe quoi sur ma vie, je parle de poésie et de mes aventures ratées.
Les Histoires Pathétiques d’un Grand Blond est le résultat d’une combinaison de mon journal intime, de mes idées, de mes mots et de mes envies de seul en scène.
La forme du seul en scène s’est imposée toute seule, comme une évidence. L’adresse publique est primordiale, un dialogue qui commence seul et qui finit par évoluer pour finir en conversation avec le public. Le décor est très simple, une table de terrasse de café avec, à certains moments l’intervention d’un serveur.
Ce spectacle se jouera dans le cadre de la première édition du festival estival
Les Débardeurs qui aura lieu du 24 juin au 16 juillet, du jeudi au dimanche.
Les Débardeurs est un espace de liberté où les créations théâtrales, les textes de stand-uppers et les concerts de nouveaux artistes s’entremêlent, cohabitent, sans frontières, ni codes préétablis. Enthousiasme, talent, audace et humour seront au programme. Le festival accueillera complices fidèles, nouvelles écritures et propositions scéniques.
Distribution
Texte, adaptation Louis Boidin
Mise en scène et lumière Victorien Coillard
Jeu Louis Boidin et William Wright
Crédit photos du spectacle Marie Malvinskaïa
