Géraud Bénech

Il n'est pas de mois sans qu'une pépite nous soit révélée / Le Figaro

Au théâtre, Géraud Bénech collabore en tant que dramaturge pour plusieurs spectacles : K Lear de William Shakespeare, mise en scène de Marie Montegani (Théâtre IVT, 2007), Les Femmes savantes de Molière, mise en scène de Marie Montegani (Théâtre 95, Cergy-Pontoise, 2010).

Il est également dramaturge pour les pièces écrites et mises en scène par Joel Dragutin : Chantier public (Théâtre 95, Cergy-Pontoise 2011), Visite guidée (Théâtre 95, Cergy-Pontoise 2012), Une maison en Normandie (Théâtre 95, Cergy-Pontoise 2013), Je te ferais dire (Théâtre 95, Cergy-Pontoise 2014), En héritage (Théâtre 95, Cergy-Pontoise 2015) et Le Chant des signes (Théâtre 95, Cergy-Pontoise 2017).

En tant que metteur en scène, il dirige Stanislas de La Tousche dans plusieurs spectacles inspirés de la vie et de l’œuvre de Louis Ferdinand Céline : Y en a que ça emmerde qu’il y a des gens de Courbevoie ? (Théâtre des Vents, Avignon, 2011), Le Discours aux asticots (Théâtre du Bourg-Neuf, Avignon, 2014) et Derniers entretiens (Théâtre Au bout là-bas, Avignon, 2017). Il est collaborateur artistique du Théâtre 95 à Cergy-Pontoise depuis 2009.

Il met également en scène La Chute d’Albert Camus (Théâtre de Nesle, Paris, 2012), Mais du soleil que reste t’il ? de Maurice Genevoix (Musée de la caverne du Dragon, Chemin des dames, 2015) et Sons of a Nietzsche, une performance associant jazz live et textes philosophiques ou poétiques (Friedrich Nietzsche, Henri Michaux, Gilles Deleuze...) avec notamment Matthieu Dessertine (Centre européen de poésie, Avignon, 2015-2016).

Géraud Bénech a publié deux ouvrages consacrés à la 1ère Guerre Mondiale : Carnets de Verdun (Librio, 2006) et Champs de bataille de la grande Guerre (Flammarion, 2008).