La Presse
Il n'est pas de mois sans qu'une pépite nous soit révélée / Le Figaro
Saison Saison 19/20
Pierre Notte aime le petit monde du théâtre, son ridicule, sa beauté, son ennui, sa drôlerie, ses personnages hauts en couleur, ses contradictions.
Nathalie Bécue et Silvie Laguna déploient un jeu sans affèteries, sans caoutchouc, ajusté aux mots qui tombent comme des cailloux.
Un insolite trio féminin nous parle avec sensibilité et humour, le rire au bord des larmes, de la vraie vie et du théâtre dans la vraie vie.
Faire semblant d'être normaux puise dans les textes fondateurs du teatro canzone pour nous offrir dans une explosion de vie, le reflet de nos joies, de nos désirs et de nos tourments.
C'est bonheur, les acteurs sont saisissants de justesse et la traduction du metteur en scène est d’une finesse constante.
Une belle réussite. Stéphanie Schwartzbrod et David Gouhier incarnent magnifiquement les protagonistes aux prises avec l'intemporel vertige de l'amour.
Une correspondance émouvante de haute volée littéraire, admirablement interprétée par Stéphanie Schwartzbrod et David Gouhier.
Nicolas Struve et ses deux comédiens touchent ainsi au mystère de la création en même temps qu’à celui de l’amour. Le tout avec la légèreté et l’élégance de l’oiseau blanc qui est presque devenu l’emblème de l’auteur russe.
Une interprétation impressionnante de maturité et une mise en scène aussi flamboyante qu'esthétisante.
Ce spectacle, d’une sensualité dense, fait éclater les apaisements et expose la plaie béante de la résilience.
Spectacle intense, sans fioritures, les cinq musiciens-acteurs totalement à l'unisson et soudés par une belle complicité en font un objet théâtral des plus singuliers.
Eric de Dadelsen dit les mots de Sol et y entremêle les siens, dissertant sur le monde et son état. Tout va très vite, ça fuse et gicle, le spectateur en est tout étourdipuisé !