Réjean Ducharme

Il n'est pas de mois sans qu'une pépite nous soit révélée / Le Figaro

SES DISTINCTIONS
Prix du Gouverneur général - L’Avalée des avalés (1966)
Prix du Gouverneur général - L’Hiver de force (1973)
Prix littéraire Canada-Communauté française de Belgique (1974)
Prix Québec-Paris - Les Enfantômes (1976)
Prix du Gouverneur général - Ha ha!... (1982)
Prix littéraires du Journal de Montréal (1983)
Prix Gilles-Corbeil (1990)
Prix Athanase-David (1994)
Grand prix national des lettres (1999)
Officier de l’Ordre national du Québec (2000)
Patrimoine culturel - Le ministre de la culture du Québec annonce la parution de L’Avalée des avalés (50e anniversaire) comme événement historique en vertu de la loi sur le patrimoine culturel (2016)

SON PARCOURS
Réjean Ducharme est l’auteur des romans L’Avalée des avalés (Editions Gallimard, 1966), Le Nez qui voque (Editions Gallimard, 1967), L’Océantume (Editions Gallimard, 1968), La Fille de Christophe Colomb (Editions Gallimard, 1969), L’Hiver de force (Editions Gallimard, 1973), Les Enfantômes (Editions Gallimard, 1976), Dévadé (Editions Gallimard, éditions Lacombe, 1990), Va savoir (Editions Gallimard, 1994) et Gros mots (Editions Gallimard, 1999). Par ailleurs il a écrit les pièces Le Cid maghané (Festival de Ste-Agathe, 1968) non publiée, Ines Pérée et Inat Tendu (Festival de Ste-Agathe, 1968), Le Marquis qui perdit (1969), non publiée, Ines Pérée et Inat Tendu reprise (1976) non publiée et HA ha!... (1978), publiée chez Gallimard (1982).

Il est également l’auteur de paroles de chansons pour Robert Charlebois, entre autre, avec qui il écrit ou collabore à l’écriture de trente chansons, dont Limoilou (1967), Mon pays (1970), Le Violent seul - S’chut tanné - (1970), Révolte (1973), Manche de pelle (1974), Je l’savais (1977), J’t’haïs (1979), J’veux d’l’amour (1979). Il a également collaboré à Trophoux (Edition Lanctôt, 2004), un catalogue des oeuvres plastiques de Roch Plante.

Au cinéma, il oeuvre en tant que scénariste sur Les Bons débarras (1979) et Les Beaux souvenirs (1981), réalisés par Francis Mankiewicz, ainsi que sur l’adaptation de Le Grand sabordage, réalisé par Alain Périsson, d’après le roman Le Nez qui voque (1973).