Claude Bourgeyx

Il n'est pas de mois sans qu'une pépite nous soit révélée / Le Figaro

Parallèlement à des études techniques qui le destinaient à un métier dont l’intérêt lui
a finalement échappé et qu’il n’a jamais pratiqué, Claude Bourgeyx s’intéresse très vite au
théâtre. Il débute par l’écriture de monologues brefs qu’il interprète lui-même au café-théâtre.

Erreur sur la personne, mise en scène de Jean-Paul Rathier, avec Olivier Waibel (Molière - Scène d’Aquitaine, Bordeaux 2008)
• Petits outrages, textes lus par Dominique Paquet, Jean-Paul Tribout et Philippe Meyer (Festival de Sarlat 2008)
• Un Avenir de roi, mise en scène de Jean-Paul Rathier, avec Jacques de Berne (Glob Théâtre, Bordeaux 2005)
• Le Grand cataclysme, mise en scène de Jurgen Genuit, avec Jean-Claude Fallet. Aurélia Florensa et Laurence Niedzwiecki (Théâtre de feu, Mont-de-Marsan 2004)
• L’amour furieux, mise en scène de William Malatrat, avec Martine Ladoire et William Malatrat (Festival d’Avignon 2002)
• Les incertitudes d’un tortionnaire discret, traduction en espagnol de Fito Dorin, mise en scène de Fito Dorin, avec Alicia Palmes, Susana Behocaray et Dario Fernandez
(Teatro El excéntrico, Buenos Aires, Argentine 2002)
• Demain, même endroit, même heure, mise en scène de Jean-Paul Rathier, avec Annie Mercier, Catherine Zabjesky, Marc Depont, Christian Loustau, Séverine Sallaberry et Thomas Rathier (Théâtre national
d’Aquitaine 2001)
• Mademoiselle Werner, mise en scène de Jean-Louis Thamin avec Maury Deschamps (Théâtre national d’Aquitaine 2000), puis avec Anémone (Théâtre des Variétés, Paris 2006)
• Petites fêlures, textes lus par Claude Piéplu (Théâtre du Rond-Point, Paris 2002)
• Écrits d’amour, textes lus par Claude Piéplu (Festival de Sarlat 2000), puis mis en scène par Bastien Duval avec Bernadette Lafont (Théâtre Fontaine, Paris 2002)