Discours à la nation
Ascanio CelestiniPrésentation
Toujours est-il que nous sommes immobiles chacun dans son trou. En un million d’années la mouche non plus n’a pas appris à échapper à l’araignée.
Dans Discours à la nation, Ascanio Celestini évoque une nouvelle fois la relation entre la classe dominante et la classe dominée, mais renverse ici son point de vue : cette fois, ce sont les puissants qui parlent. Des discours d’un cynisme suffoquant débarrassés de leur vernis de respectabilité, qui se révèlent d’un grotesque aussi comique qu’effrayant. La docilité du peuple, la démission des syndicats, le marché globalisé, sont aussi mis en situation. Ascanio Celestini met le doigt sur les aberrations de nos sociétés modernes.
Distribution
Production Les Déchargeurs / Le Pôle diffusion en accord avec le Théâtre de la Passerelle
Multimédia
Notes & extraits
NOTE D'INTENTION
…Digne héritier de Dario Fo, ces discours à la nation arrachent des rires ou des cris.
Grotesque et absurde. On est dans un « petit pays » dirigé conjointement par deux partis : les mafieux et les corrompus.
Des harangues ironiques d’un dominant accablant les dominés.
On met le doigt là où ça fait mal, sur les aberrations de nos sociétés.
A tous les révoltés qui disent les duretés de la vie avec humour, amour, humanité.
Ascanio Celestini a un véritable amour des « petites gens » …
Michel Bruzat