Un acte théâtral de la plus intègre sincérité / L'Humanité
La fougue de ces femmes donne une force nouvelle à chaque mot / La Provence
Une mise en scène aussi précise qu'intense / La Marseillaise
D'indéniables qualités esthétiques (…) C'est plutôt bien fait / Télérama
C’est avec un respect irrévérent que la compagnie (…) s’attaque à l’un de ses textes les plus connus / La Terrasse
Elles vont se déchirer, danser leurs danses, chercher l’amour, exiger.
Cinq femmes ont passé des années à attendre, un fils, un frère. Lorsqu’enfin il revient, il reste silencieux. Commence alors un ballet de soins, d'observations, d'attentions particulières dans lequel chacune laisse exprimer le flot de ses inquiétudes. Face au terrible silence que l’être aimé laisse planer sur sa réapparition, les frustrations ne peuvent plus être tues. J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne explore les arcanes de l’assujettissement, ainsi que son corollaire : l'exercice de la cruauté.