J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne

Un acte théâtral de la plus intègre sincérité / L'Humanité
La fougue de ces femmes donne une force nouvelle à chaque mot / La Provence
Une mise en scène aussi précise qu'intense / La Marseillaise
D'indéniables qualités esthétiques (…) C'est plutôt bien fait / Télérama
C’est avec un respect irrévérent que la compagnie (…) s’attaque à l’un de ses textes les plus connus / La Terrasse

Elles vont se déchirer, danser leurs danses, chercher l’amour, exiger.

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texte publié aux éditions Les Solitaires Intempestifs

Jean-Luc Lagarce

Metteur(s) en scène

Catherine Decastel

Production

Co-Réalisation Les Déchargeurs / cie Ubwigenge

Salle

Salle Vicky Messica du 14 février au 03 mars 2012 à 19h30 / du mardi au samedi.

Lumières

T. Sébastiâo Tadzio

Durée

1h15

Avec

Anaïs Pénélope Boissonnet, Aurélia Pénafiel, Clémence Laboureau, Emilie Coiteux, Florent Arnoult, Noémie Sanson

Résumé

Cinq femmes ont passé des années à attendre, un fils, un frère. Lorsqu’enfin il revient, il reste silencieux. Commence alors un ballet de soins, d'observations, d'attentions particulières dans lequel chacune laisse exprimer le flot de ses inquiétudes. Face au terrible silence que l’être aimé laisse planer sur sa réapparition, les frustrations ne peuvent plus être tues. J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne explore les arcanes de l’assujettissement, ainsi que son corollaire : l'exercice de la cruauté.