
Alissa Wenz
Alissa WenzPrésentation
Prolongations exceptionnelles pour 8 dates les jeudis à 21h30 du 11 janvier au 1er mars !
Voilà qu’au tout début, ouvrant mes petits yeux
J’ai rencontré le monde, presque par hasard
Un piano pour une voix. Seule en scène, Alissa Wenz compose un voyage où chaque chanson est une histoire, une confidence. Dans un univers où humour et poésie s’emmêlent, elle écrit, compose et interprète ses textes, inspirée par quelques grandes voix féminines de la chanson française, Barbara, Anne Sylvestre, ou Juliette.
crédit photo Pierrick Bourgault
Informations sur le lieu
La presse en parle
Touchante, drôle, caustique, pertinente, percutante et bigrement vivante. Alissa ou le bonheur des mots. / Moving art - 27/09/2017 - Nicole Laffont
Entre humour piquant et poésie sur un chemin bien agréable. / Hexagone - 12/10/2017 - Michel Gallas
Elle a de l’énergie, une présence remarquable, une bonne dose d’humour et beaucoup de poésie. Un spectacle réjouissant d'une belle artiste. / L'Intermède - 14/11/2017 - Marion Point
Multimédia
Notes & extraits
MOT DE L’AUTEUR
Mais à quoi croient-ils donc que me sert mon piano
Si ce n’est à livrer mes secrets les plus beaux ?
Mes secrets sont les vôtres, à nul autre pareils
Et je veux leur donner la forme du soleil...
Aussi nue que l’amante et que le nouveau-né
Et presque aussi vivante que la jeune mariée
Je vous offre des notes où courent mes douleurs
Je vous ouvre ma porte, je vous offre mon cœur.
Alissa Wenz
EXTRAIT
« Voilà qu’au tout début, ouvrant mes petits yeux,
J’ai rencontré le monde, presque par hasard
Je n’étais qu’une enfant, j’avais le cœur curieux,
Le monde m’a dit : "Viens, y a plein de choses à voir !"
Et j’y ai cru, pardi, j’ai commencé à croire
Que la terre était belle et le printemps radieux
Qu’il suffisait de sautiller sur les trottoirs
Pour transformer le monde en grand terrain de jeux
Mais il y a des lois qui blessent les enfants
Et des "Ne fais pas ci", des "Redescends sur terre"
Les grands châteaux de sable ne durent qu’un temps
Même au pays du rêve il y a des frontières
Et pourtant j’y croyais, je faisais cet effort,
Oui pourtant j’y croyais, j’y crois sans doute encore !
(...)
Je veux être naïve comme une gamine
Et faire de ma vie un grand acte de foi
Je veux croire aux étoiles dès que le jour décline
Et faire de ma vie un grand acte de joie !
Je veux être naïve, et tant pis pour les lois,
Tant pis pour la raison, tant mieux pour les sourires,
Et tant mieux pour l’enfant qui vit encore en moi
Je veux être naïve et ne jamais vieillir ! »