
« Laissez-vous engluer, par la visqueuse vague,
De l’espoir qui s’amène, de manière divague,
Laissez-vous embrocher, par ces longs traits d’esprits,
Faisant couler le pue, de vos crânes meurtris,
Laissez-vous porter oui, dans cette flaque opaque,
Jusqu’à l’îlot d’espoir, où plus rien ne vous traque. »